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| La valse de l’amour infini… |
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Ma vie est blessée de déceptions…
Moi qui croyais enterrer mes abandons…
Tu ne joues pas avec ton cœur…
Sans frôler tes amertumes et tes peurs…
À rien mes rêves perdus refont surface…
Je ne peux plus camoufler ce qui me tracasse…
Je suis morose et très mélancolique…
J’en perds la raison tellement chagrinée…
J’aimerais pour longtemps m’éloigner…
De cet enfer terrestre et diabolique…
Mon âme tremble devant ma croix…
Je me dévoile vulnérable, ça me déçoit…
Pendant des nuits, j’ai divagué de volupté…
Pour dénicher une tranquillité pour m’apaiser…
J’ai trimballé volontairement mes chaînes…
Celles avec lesquelles je me suis attachée…
Pensant un jour me libérer de cette rengaine…
De cet amour, j’en suis restée chavirée…
Que de fois, j’ai radoté pouvoir l’enlacer…
M’en approcher, revivre comme dans le passé…
Me sentir posséder passionnément…
Sous la douceur de ses baisers et de ses caresses…
Nos corps entremêlés, enjôlés par l’ivresse…
Rechercher l’extase jusqu’à l’épuisement…
Je suis loin d’oublier cet amour…
Celui que j’ai aimé à l’infini…
Pourtant, il était mon « loup » pour la vie….
J’en parle et le cœur me fait trois tours…
Si j’ai décidé dans mon déclin d’en reparler…
C’est que mes pensées en sont encore troublées…
Je suis hantée à la pensée de son prénom…
Mon cœur soupire encore sans pudeur…
Comment me déraciner de cet esclavage…
J’en souffre sans cesse même à mon âge…
La preuve, je porte toujours mon jonc…
Je veux me souvenir à jamais de nos ardeurs…
Ce soir si devant vous, je délire….
J’ai soif de lui, tellement je le désire…
Comment mieux vous expliquer…
Que son amour m’a toujours manqué…
Toute ma vie, il a occupé mes esprits…
Et jamais j’en ai retiré aucun crédit…
Pardonnez-moi ce petit vagabondage…
Mon cœur se devait de faire ce voyage…
Pour calmer mes rêves les plus secrets…
Je vous confie mon plus gros regret…
Je suis encore accrochée à son charme…
Mes yeux en sont baignés de larmes…
Vous les amants qui aimés encore…
Profitez-en avant l’aurore…
Un jour, il sera trop tard…
Jalet
05/04/05
 LUI ECRIRE
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